Sauvetage de chat et demoiselle en détresse
« Et bien Madame... ? Vous m'avez appelé pour un chat coincé dans un arbre ? » Nina étouffe son rire entre ses mains. La scène est à la fois particulièrement drôle, et tout à fait alléchante. Son compagnon, pompier de profession, lui offre pour son anniversaire un petit aller-retour au paradis. Exceptionnellement, il a accepté d'apporter sa tenue de pompier à la maison... et bon sang, rien qu'à l'idée de lui retirer toutes ses couches de vêtements une par une... la jeune femme en mouille presque sa culotte.
« Je ne vous remercierai jamais assez pour votre rapidité... mon pauvre chaton est coincé si haut, il miaule à l'aide depuis que je vous ai appelé ! Suivez-moi. » Nina, vêtue de sa plus jolie nuisette, joue la jeune femme affolée, inquiétée en pleine soirée par les facéties de son chat, Wasabi. Elle mène le jeune homme à l'étage et montre du doigt l'arbre imaginaire, où trône un fin chat blanc tacheté de brun, les observant depuis son nid. Aucune inquiétude à avoir en somme... mais le pompier prend les choses très au sérieux et se hâte de monter sur un tabouret pour en descendre le félin, que toute cette histoire laisse froid. Une fois assurée que son ami à quatre pattes est en sécurité, Nina se jette dans les bras du héros du jour, encore tremblante de toutes ces émotions.
« Vous faites un travail formidable, comment aurais-je pu sauver Wasabi sans vous ?! Vous êtes... si courageux. » L'homme la tient d'un bras, retire son casque de l'autre. Sous la protection de fer, un visage souriant, rasé de près. Louis n'aurait pas pu rêver offrir plus beau cadeau à Nina... et pas plus beau sauvetage au chat.
« Oh. » Il rit, alors que la main de la jeune femme tâte un peu plus bas. La proximité n'aidant pas, voilà que le pompier se sent obligé de sortir sa lance pour calmer le feu qui brûle en elle. Même au travers des vêtements épais elle le sent bien tendu. Est-ce dû à sa tenue qui laisse si peu de place à l'imagination ? A ses petits sourires coquins, ou encore à la gourmandise qui se lit sans doute sur son visage ? L'homme ose retirer ses gants épais pour sentir la chair chaude au travers de la nuisette. La jeune femme a le fessier ferme, bien rond, un plaisir auquel il goûterait bien. Et puis, avec cette petite moue coquine... nul doute, la maîtresse du pauvre petit chat ne demande que ça. Et puis, il faut bien le féliciter pour son travail bien fait, non... ?
« Madame... est-ce que je peux me permettre ? » Nina redresse la tête et s'éloigne d'un pas. Se permettre... ? Se permettre de retirer sa veste, se permettre de dévoiler son torse fort, dessiné ? Le pantalon est bien bas sur ses hanches, découvrant de façon tout à fait alléchante son bas-ventre. Allons bon. Qu'il se permette.
« C'est qu'il fait bien chaud et j'ai encore tellement à faire... » D'un pas, Louis rejoint Nina. Encore à faire... ? Le chat est sauvé, le plus important est fait. Mais puisqu'il est là, autant en profiter pour montrer l'étendue de ses capacités. Nina, qui décidément a bien besoin des services du généreux pompier, prend littéralement les choses en main, ouvrant le pantalon du jeune homme. Il le porte décidément très bien, mais quelle est l'utilité d'avoir une telle lance si c'est pour ne pas s'en servir ? D'un geste parfaitement mesuré, elle glisse ses doigts sous le tissu épais et, le regard rivé dans celui du jeune homme, saisit son membre viril, fièrement tendu entre ses cuisses fortes. Un aller-retour offert par sa main agile, une caresse qui n'aide en rien dans l'état du jeune homme.
« Montrez-moi un peu l'utilité de cette musculature impressionnante. » Il esquisse un sourire léger, sans doute un peu gêné de tant plaire à la jeune femme. Qu'est-ce qu'il ne ferait pas pour la satisfaire, pour lui prouver qu'elle est décidément très bien tombé... Une fois que la petite main a relâché son pénis presque douloureusement tendu, très dur, il a vite fait de légèrement abaisser son pantalon, et tout aussi vite fait d'attraper la jeune femme, la soulevant et la coinçant entre son torse fort et le mur. Le misérable petit string, trop fin pour la protéger, est repoussé de côté. Elle est trempée, la pauvre, une véritable inondation pourtant insuffisante pour étouffer le feu qui brûle au creux de son ventre. Pour ça, un seul et unique moyen...
« Aaaah ! » Un coup brusque, il est entièrement en elle. Son sexe bien dur prend possession de son corps, si fragile et léger entre les bras forts. Un premier coup de reins... un second. Le rythme est bien vite adopté, saccadé et bien profond, mené par un fessier à la fermeté exemplaire. C'est donc à cela que lui sert son entraînement de pompier ? A baiser d'une façon presque divine ? Nina a la bouche ouverte et une cascade de gémissements qui lui glisse entre les lèvres. La cadence est désormais infernale, chaque coup renvoie une gerbe d'étincelles au plus profond d'elle. Il est venu pour attiser le feu, ou l'éteindre ?! Nina se sent brûler... il serait donc un mauvais pompier ? Mais peut-elle réellement lui reprocher de mal faire son métier ? Les larges mains masculines pressent ses hanches, ses fesses... La chaleur est intense, terrible. Il se penche pour lui dévorer le cou, la rondeur de ses seins, pressant plus fort contre elle, en elle. Encore quelques coups de reins et il s'enfonce une dernière fois, profondément... là où il se libère alors, l'emplissant de sa semence.
Avant même l'éjaculation terminée, il se retire et termine le travail sur la jolie nuisette, bientôt toute humide. Nina, un peu étourdie, met un pied tremblant à terre. Le liquide goûte entre ses cuisses fines, honorée par le travail finalement parfait du jeune homme...
« Vous êtes décidément le meilleur, Monsieur le Pompier. »